Chanson des rues
(Marc Estève / Enrico Macias)
Chanson des rues
Feuille au vent
Lettre perdue
Les mots voyagent
En faisant
Le plein d'images
Un tour de boussole
Deux villes au hasard
Trois tournesols
Ou le grand large
Bouteille en mer
Cerf-volant
Grain de poussière
Les notes nagent
Vont aux champs
Suivent les plages
Mon Dieu quelle chance
De bercer un jour
Juste une enfance
D'un peu d'amour
J'irai toujours, poussé par cette mélodie
Qui se transmet, je crois, depuis la nuit des temps
Ca n'est jamais la même, elle fait souvent sa vie
Mais elle revient chargée d'histoire et de présents
Mon Dieu quelle chance
De pouvoir un jour
Bercer une enfance
Avec un peu d'amour
Chanson des rues
Feuille au vent
Lettre perdue
Les mots voyagent
En faisant
Le plein d'images
Un avion décolle
Deux trains rentrent en gare
Trois rossignols
Chantent ce soir
Je suis chez moi, toujours au-dessus des frontières
Pas de visa pour ceux qui voyagent en refrains
Si on entend ma voix bien au-delà des mers
C'est que tes mots, mes notes, vont main dans la main
Chanson des rues
Feuille au vent
Lettre perdue
Les mots voyagent
En faisant
Le plein d'images
Un avion décolle
Deux trains rentrent en gare
Trois rossignols
Chantent ce soir
Bouteille en mer
Cerf-volant
Grain de poussière
Les notes nagent
Vont aux champs
Suivent les plages
Mon Dieu quelle chance
De bercer un jour
Juste une enfance
D'un peu d'amour
Mon Dieu quelle chance
De pouvoir un jour
Bercer une enfance
D'un peu d'amour