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PRESSE

Photo : Patrice Caumon)

"Les textes signés aux trois quarts par Marc Estève habillent ces pièces musicales avec une finesse rare."

Le parisien à propos de "La vie de château"t

"J’ai adoré le texte de Marc Estève, C’est pas dans ma nature : c’est une chanson écolo sans être politiquement correcte.."

Maurane dans une interview donnée à RFI Musique

Articles sur mes collaborations avec :

Maurane 

Art Mengo

Enrico Macias

Henri Salvador

Liane Foly

Mouss et Hakim

Teofilo Chantre

Portrait de Marc Estève par Frédéric Abela dans La Dépêche (27/10/2000)

Tournan, nouvelle place forte de la chanson française? En signant deux titres sur le nouvel album d'Henri Salvador, Marc Estève, Gersois depuis un an, a choisi ce petit village surplombant la vallée de la Save comme source d'inspiration. « Vagabond » et « Il fait dimanche », deux chansons signées de la plume d'un parolier quadragénaire à la trajectoire hors du commun.

« Je me suis mis à écrire un peu sur le tard. De tout temps le réflexe de l'écriture a guidé ma vie. Tout a commencé avec Art Mengo, l'interprète toulousain. On se connaissait et il savait que j'écrivais pas mal de textes. Il a été contacté par Henri Salvador et lui a parlé de moi... » La suite, le dernier album de l'un des doyens de la chanson française, « Chambre avec vue », recéle quelques ballades ultra léchées.

La rencontre avec l'auteur de « Une chanson douce » s'est passée dans la plus grande simplicité. « Au Palais des congrès, à Paris, les musiciens se sont installés près des micros et Henri Salvador terminait son tiercé. Une seule apparition a suffi. Il est venu et a posé sa voix. C'était dans la boîte ».

DES CLASHS A GAINSBOURG

Paris, le show-biz et son cortège de coups-bas ont fini par usé le parolier de l'ombre. Marc Estève a déjà plaqué plus d'une fois producteurs et labels aux dents longues. Le marketing et les caprices de la bourse ne dicteront pas leur loi au rebelle de Tournan. L'influence des Clashs et du père Gainsbourg n'y sont peut-être pas étrangers...

« Je me suis beaucoup éparpillé. Après avoir monté mon groupe, au début des années 90, j'ai tout envoyé valsé, je suis parti. J'ai fait du vin dans les Cèvennes. Aujourd'hui, je suis en phase avec moi même. Je ne veux pas être dépendant de ce boulot. Et souhaite pouvoir dire non à un interprète quand j'en ai envie. A Tournan, j'apprécie cette proximité avec les gens et surtout je me suis rapproché de ce qui est essentiel: la vérité ».

Le village qui a récemment célébré un anniversaire concert en hommage au saxophoniste Guy Lafitte, a déjà adopté son nouveau résident. Tous près de l'école, Marc Estève cultive son jardin. Secret, sensible à la belle ouvrage, il restaure sa maison.

Membre du comité des fêtes de Tournan, il prend part aux différentes animations du village. Pendant ce temps, son nom circule dans le microcosme parisien. Il laisse Micha, le fils d'Aznavour, ouvrir les portes des salles moquetées noyées dans les épaisses fumées de cigare...

A l'ombre, il attend aussi la sortie pour novembre prochain du dernier album de Florent Pagny. L'interprète et ex compagnon de Vanessa Paradis, a lui aussi craqué pour la griffe Estève.

Tout pour énerver Pascal Obispo.

Marc Estève, le collectionneur de mots - La Dépêche du Midi (17/11/2008) :

Son travail et le sport ne lui suffisait pas, son plaisir était d'écrire. Les mots, les paroles ont toujours été pour Marc Estève une force d'expression de son état d'âme, des autres. Il fait quelques essais qui plaisent ; pourtant, le succès n'est là que depuis une dizaine d'années, avec deux chansons pour Henri Salvador, éditées par Micha Aznavour. Mais ce sera sa rencontre avec Art Mengo qui sera décisive, avec l'union des mots à la musique. Depuis ce fut l'album de Liane Foly (« Le goût du désir »), d'Enrico Macias (« La vie populaire ») et des textes pour Lambert Wilson, Mauranne, Cristina Maroco, Dick Rivers, Cock Robin, Florent Pagny, et Marie-Amélie Seignier. Dernièrement, il a participé à l'album de Mousse et Akim et il prépare le prochain d'Enrico Macias avec Art Mengo et de Téofilo Chantré, tout en français. Des chansons bien différentes pour des artistes différents, mais son inspiration, il la tient de la communion avec son partenaire ; si le message passe, c'est bien. Il ne travaille que pour les gens qui lui plaisent, dit-il, mais cela semble difficile de ne pas lui plaire. Sa dédicace à Liane Foly sur son album résume bien cet état d'âme : « Liane aime les vieux meubles chargés de secrets, j'ai essayé d'assembler chaque chanson comme ces commodes à tiroirs qu'on ouvre et rouvre ». Depuis 1998, il est installé à Tournan, petit village gersois du Haut Astarac, séduit par la beauté des paysages du Gers qui l'inspire peut-être. Il travaille de très bonne heure, parfois dès trois heures du matin. Son inspiration n'est pas un souci pour lui, elle est toujours présente. Il ne prend jamais de notes et s'il perd une idée, demain, il en aura une autre. Jusqu'à présent, Marc travaillait seul, mais maintenant il le fait avec une amie, Marie Nimier (prix Médicis 2004), qui, comme lui, aime collectionner les mots.

Collaboration Avec Art Mengo :

Article de Robert Migliorini le 28/9/2009 sur "Sujet libre" d'Art Mengo - La croix

"Voilà, sans conteste, un des meilleurs disques de cette rentrée. Si éloigné du tohu-bohu habituel, tant l'aérien des mélodies, légères et chantées d'une voix juste, sait se conjuguer avec la force du propos (...) Associé à son équipe d'auteurs (le fidèle Marc Estève, le duo Marie Nimier et Thierry Illouz notamment), il laisse également entendre le fragile de la vie et les bienfaits de la frivolité. Bagatelle, chante-il. Lecteur assidu, Art Mengo a, par ailleurs, puisé dans l'œuvre poétique d'Anna de Noailles pour évoquer ces moments rares où l'âme commune d'un soir restera unique pour ceux qui les ont vécus."

Article de C. Larrede des Inrocks sur "Sujet libre" (08/10/09)

"Ses mots (et ceux de ses paroliers, Marie Nimier, Marc Estève, Thierry Illouz) sont ceux de la fragilité (Si tu me licencies) ; ses images extraordinaires disent les boucles qui tombent au sol parce qu’on a trop aimé un soldat allemand (Ciao-Wiedersehen), ou un petit garçon sur les épaules du père (Randonnée en famille). Art Mengo est là pour chanter ces vers : tant mieux."

Article du Télégramme en amont d'un concert :

"Pour «La vie de château», Art Mengo a travaillé avec un nouveau parolier : Marc Estève. «J'aime bien aller chez l'autre et habiller ses textes de musique. Je n'ai pas besoin d'avoir vécu ce que je chante», explique Art Mengo. Les textes de Marc Estève vont d'ailleurs comme un gant à la voix chaude et rocailleuse du musicien chanteur... jusqu'à «Monsieur Claude», hommage des deux Toulousains à Nougaro." 

Article de 20 minutes en amont d'un concert :

"Après avoir été l'un des compositeurs les plus demandés dans les années 1990 – avec ses compères paroliers, Patrice Guirao puis Marc Estève, il a composé pour les plus célèbres, de Johnny Hallyday à Enrico Macias en passant par Florent Pagny et Henri Salvador –, il éprouvait le besoin de changer certaines choses. Il s'est construit son propre studio chez lui, près de Toulouse, au milieu des arbres, afin de pouvoir réaliser entièrement ses albums."

Art Mengo en son château, Article de Ludovic Perrin - Libération (29/09/04)

Six mois après son dernier passage à l'Olympia, Art Mengo revient boulevard des Capucines présenter son cinquième album studio.

Composé avec un nouveau parolier voisin de Toulouse, la Vie de château creuse avec Marc Estève ce style délicat jeté sur les voies roda-giliennes dans la chanson des années 90. Ensemble ils s'étaient d'abord rodés sur des chansons pour Henri Salvador et Enrico Macias avant de s'atteler au retour d'Art Mengo. On le retrouvait à l'automne dernier tel qu'on l'avait quitté il y a six ans. C'était toujours, sur une voix haute, voilée, un peu féminine, des harmonies offrant des suites d'accords aussi fines qu'originales. Il y avait eu avec Patrice Guirao les Parfums de sa vie, Gino. C'est aujourd'hui Ultramarine, l'extrait accompagnant une tournée qui s'étend jusqu'en 2005.

Article de Ludovic Perrin (Libération le 17/10/03)

D'une voix haute et brisée, Art Mengo apparaissait à la fin des années 80 avec des mélodies racées sur des textes soutenant l'ambition poétique d'un Roda-Gil. Parti écrire des comédies musicales avec Pascal Obispo, le parolier quitte le chanteur toulousain avec quelques tubes (les Parfums de sa vie, Gino), mais aussi une fâcheuse tendance à la délicatesse quelque peu fortuite, joliesse conduisant finalement à des images fumeuses. Loin d'affaiblir Art Mengo, ce départ lui a, au contraire, permis de rencontrer un parolier d'une inspiration beaucoup plus habitée. Avant de s'atteler à son cinquième album studio, Art Mengo s'est d'abord rodé avec Marc Estève en donnant quelques chansons à Henri Salvador ou Enrico Macias. La Vie de château, le premier titre de ce disque du retour, ouvre brillamment avec une basse ronde et un texte flottant sur les flux et reflux d'une partition de cordes fin d'Empire austro-hongrois : «La vie de château c'est du cristal à casser sur des violons russes/ Pour voir s'échapper mille étoiles/ Des yeux d'une fille belle comme Vénus.» Le style est planté avec les incursions d'un orchestre jazz catalan imaginaire. Cela donne de très bonnes chansons (Je passerai la main, l'Enterrement de la lune) mais qui ne trouvent pas la ressource nécessaire sur la longueur, avec un habillage et une interprétation ne creusant pas toujours les écarts, contrastes et jeux de distorsion avec des textes et mélodies ciselés.

Article de sur La vie de château (14/10/2003)

"Les textes signés aux trois quarts par Marc Estève habillent ces pièces musicales avec une finesse rare."

Article du Parisien sur La vie de château (14/04/2003)

Article et Entretien par Bertrand Dicale de RFI sur "Entre mes guillemets" (7/02/06)

"A peine deux ans après La Vie de château, Art Mengo sort cette semaine Entre mes guillemets, nouvel album aux couleurs tendrement mélancoliques, sur des textes de Marc Estève, Marie Nimier à quatre mains avec Clarika et… Art Mengo lui-même."

Article sur Art Mengo et Julie Oz (Chanter c'est lancer des balles)

Article de TV5 Monde sur Art Mengo (2009)

Entretien d'Art Mengo et Marc Esteve par Catherine Beauville paru dans La gargouille

Collaboration avec Henri Salvador : 

Article de Bertrand Dicale sur chambre avec vue - Le Figaro (13/02/2008) :

"L'équipe qui travaillera sur le disque est jeune : l'auteur-compositeur-interprète Keren Ann et son transitoire alter ego Benjamin Biolay, ainsi qu'Art Mengo, Marc Estève et quelques autres jeunes gens qui connaissent par cœur Antonio Carlos Jobim, Chet Baker… et Henri Salvador. L'album Chambre avec vue est un choc : Salvador chante avec une douceur infiniment maîtrisée, les titres sont des splendeurs avec, en cerise sur le gâteau, un duo écrit et chanté avec Françoise Hardy, Le Fou de la reine."

Article de Ludovic Perrin sur Chambre avec vue - Libération (14/10/2000) :

"Deux chansons d'Art Mengo, qui a formé un nouveau tandem avec l'auteur toulousain Marc Estève (Isabelle Caux), ont suivi, avant que Salvador ne dépoussière ses propres mélodies..."

Article sur les gagnants de l'année 2000 dans l'Express

"Chambre avec vue a pris la tête des charts par surprise: c'est le triomphe du jazz à la coule, la revanche d'Henri le crooner sur le clown Salvador. L'album, refusé par toutes les major companies, est sorti sur un label d'avant-garde (Source). 300 000 aficionados ont déjà rejoint cette galaxie où l'on retrouve Françoise Hardy en duo avec Henri. "

Article de Alain Brunet sur la tournée d'Henri Salvador (10/02/2004)

"Plus tard, on déroulera un autre ta- pis orchestral, ponctué de motifs d’orgue on ne peut plus singuliers, Il fait dimanche à n’en point douter — gracieuseté de Marc Estève et Art Mengo."

Blog de Francis Hébert :

"On a retrouvé des maquettes, des inédits (essentiellement enregistrés juste avant le méga succès de Chambre avec vue). On a juste gardé la voix et on a demandé à Benjamin Biolay de tout reprendre à zéro. Biolay était le choix évident puisque c’est lui qui était responsable en grande partie (avec Keren Ann) du retour en grâce de Salvador. Sur Chambre avec vue (2000), cinq chansons portaient la signature de l’un et/ou l’autre. Presque toutes les autres étaient aussi très bonnes, en particulier la magnifique Il fait dimanche de Marc Esteve et Art Mengo."

Collaboration avec Maurane : 

Interview de Maurane par Marie Catherine Mardi de RFI Musique à propos de la sortie de Fais moi une fleur :

"Je suis si attachée à la terre et à cette vie que j’en parle souvent inconsciemment. Je plains cette planète tous les jours : les hommes sont à la fois capables d’y faire des choses extraordinaires et de tout détruire. A ce propos, j’ai adoré le texte de Marc Estève, C’est pas dans ma nature : c’est une chanson écolo sans être politiquement correcte. Il y a des images violentes mais belles, "les baleines bleues font la planche". Les cinq éléments sont les choses qui nous tiennent en vie. Parfois on ne les voit plus à force de vivre au milieu. Je m’arrête souvent sur des détails, c’est ce qui fait que je trouve la vie de plus en plus belle."

Article de Thierry Coljon sur Fais moi une fleur de Maurane :

"Et finalement, le disque est très varié, à la fois note bleue et joyeux. Avec des auteurs-compositeurs familiers, comme Art Mengo, Marc Estève, Marie Nimier et même Jean-Claude Vannier et Brigitte Fontaine, mais aussi de nouveaux venus dans l’univers mauranien, comme Julien Clerc, Juliette ou François Morel, l’ex-Deschiens, qui a signé deux beaux textes…"

Article de la bande sonore sur "Les carnets de Mô"

Article sur Face B en hommage à Henri Salvador dans l'avenir :

"L’une des clés du succès de Maurane, c’est d’avoir de bons auteurs. Encore une fois, elle a pu travailler avec la crème de la crème. Artmengo lui a écrit Fais moi une fleur, Je me sens bien et Mon ange veille avec Marie Nimier et Marc Estève pour les textes. François Morel, l’ex-Deschiens, lui a également livré deux textes : Face B et Pas belle."Je ne savais même pas qu’il chantait et écrivait. je suis vraiment tombée par terre quand j’ai reçu ses chansons composées avec Antoine Salher."

Collaboration avec Enrico Macias : 

Article de IdoleMag sur Tu n'es pas le seul au monde d'Enrico Macias

Côté textes, on retrouvera Marc Esteve ou d'Eliette Abecassis. Enrico a composé deux chansons. De nombreux duos sont attendus, citons entre autres Daniel Lévi, Idir ou encore Snitra. Au côté des chansons originales, nous retrouverons des adaptations, comme « Paris tu m'as pris dans tes bras » (avec Théodore Bikel) ou « Ne dis pas », chant traditionnel des partisans de Vilnius.

Article d'Eric Mandel sur Les clefs dans le JDD (18/02/2016)

"Résultat de cette collaboration féconde : le superbe Oranges amères (2003) et l'étonnant Voyage d'une mélodie (2011) dans lequel Enrico impressionnait en interprète polyglotte, de l'arabe dialectal au kabyle, en passant par le ladino espagnol et même le… yiddish! Avec Les Clefs, il retrouve la langue de Molière, et la tradition de la chanson française. "J'ai voulu m'échapper des poncifs comme "laï, laï, laï". Je privilégie un chant plus intimiste et sobre." Entouré par une armada d'auteurs-compositeurs (Marc Estève, Art Mengo, Bruno Maman…), il chante toujours la déchirure de l'exil, rend hommage à son public, célèbre la mémoire de la femme de sa vie, Suzy, disparue en 2008. Le chantre de la paix n'oublie pas le chaos du monde."

Article sur les clés de Sud presse

Article de Aficia sur "Les clefs"

"Co-réalisé par son fils Jean-Claude mais aussi par Norman Langolff et Gaby Concato, Les clefs est un album qui a permis à Enrico Macias de se dévoiler. Racontant ses espoirs, ses regrets, ses inquiétudes et ses bonheurs, le chanteur nous laisse pénétrer à l’intérieur de ses sentiments. Des textes et des mélodies qui lui ont été proposés par Art mengo, Marc Estève, Da Silva, Bruno Maman, Claude Morgan et également Frédéric Zeitoun."

Article de Zikeo sur "Les clefs"

"Avec tous ses auteurs et compositeurs comme Art Mengo, Marc Estève, Da Silva, Bruno Maman, Claude Morgan, Frédéric Zeitoun... -, Enrico Macias raconte ses espoirs, ses regrets, ses inquiétudes, ses certitudes, ses bonheurs. Le fils juif de la terre algérienne fait écho à une phrase célèbre du prix Nobel Albert Camus, né à Oran, dans La Justice et ma mère, avec un texte de Marc Estève posé sur une morna du compositeur capverdien Téofilo Chantre."

Article sur "Les clefs" d'Enrico macias

Article sur Voyage d'une mélodie

« Socalled a composé Tu n’es pas seul au Monde dont Claude Zuffrieden a signé l’adaptation française ainsi que les musiques de De loin et La nuit dont Marc Esteve (Henri Salvador, Art Mengo,…) a signé les textes »

Article sur le passage d'Enrico Macias dans On n'est pas couché en 2011

Article "Macias à maturité" de Ludovic Perrin (Libération) (16/01/03)

"Présent sur le fameux Chambre avec vue de Salvador, Marc Estève était, au-delà du rapprochement médiatique, l'homme de la situation. Fils d'un footballeur pied-noir, cet ancien rocker retiré dans le Gers a d'emblée trouvé une passion commune avec le chanteur. Le complice d'Art Mengo (il vient d'écrire son prochain album) se rappelle aussi que les 45 tours de Macias, de même que les souvenirs d'Afrique du Nord, rythmaient les réunions de famille. «La glu, les noyaux d'abricot, le bruit du thé dans les théières, la danse de nuit des lamparos...» rejaillissent avec une sensualité effleurée dans le lexique d'Oranges amères. «Je me suis inspiré des ambiances de Camus. J'aime sa vision de la Méditerranée, le soleil, les bains de mer», resitue l'auteur. Durant un an, il a écrit façon ping-pong entre la cuisine des Macias et son hôtel parisien."

Interview d'Enrico Macias dans l'Humanité à propos d'Oranges amères

Enrico Macias : "Dans cette chanson composée par Art Mengo et écrite par Marc Estève, j'ai été frappé par cette alchimie entre la musique et les mots. Je l'ai reçue comme une chanson de nostalgie mais avec beaucoup d'espoir. L'orange amère est un fruit qu'on connaît bien en Algérie où il y en a beaucoup. On ne peut la consommer comme une orange normale. On en fait généralement de la confiture. Disons que la confiture, c'est l'espérance, les oranges amères, la nostalgie."

Article sur l'album Oranges amères :

"Ce que l'on peut déjà dire à propos de ce disque, c'est que la couleur arabo-andalouse, chère au coeur et aux racines d'Enrico Macias, domine sans écraser les belles paroles écrites surtout par Marc Estève (huit titres sur douze). On trouve aussi les signatures d'Art Mengo pour deux musiques, et Kent pour un titre paroles et musique."

Collaboration avec Mouss et Hakim

Article de Froggy Delight

"Mouss : On a eu la chance de rencontrer Marc Estève qui a signé pas mal de texte, la rencontre aussi avec Claude Nougaro ( Bottes de banlieue ) avant son décès…"

Article de la Dépêche sur un concert à Toulouse :

"(...)Puis ils ont enchaîné « Alif ba ta tsa », comme les quatre premières lettres de l'alphabet arabe… Un titre signé Marc Estève qui a co-écrit la moitié de l'album."

Article de Robert Migliorini de La Croix sur l'album "Ou le contraire" (6/08/2005)

"Marc Estève, connu pour son savoir-faire et au service notamment d'Art Mengo, est également de la partie (un de ses titres, Rodéo, est déjà un succès)."

Article de l'Humanité sur l'album "Ou le contraire" (24/06/2005)

"Un album où se croisent les textes ensoleillés de différents auteurs, dont le fidèle Cherfi, mais aussi Marc Estève ou encore Claude Nougaro qui, il y a quelques années, leur a offert Bottes de banlieue. Un disque taillé dans le rock festif qui devrait prendre sa dimension sur scène grâce à des arrangements live."

Article de Zik'n blog sur l'album

Article de DZairInfos sur l'album "Ou le contraire" (04/07/2005)

"Cela donne un album très énergique, très «péchu». Au jeu des paris, il est difficile de savoir qui de Alif, ba, tsa ou de Rodéo squattera les antennes de télévision et de radio. Un carton annoncé. La musique festive ne se repose pas sur des textes niais, de variétoche. Au contraire. Magyd Cherfi, autre ex-Zebda Marc Estève et Claude Nougaro, qui avant son décès, leur a écrit Bottes de banlieue, ont résolument propulsé les deux frères dans le cercle très fermé d'artistes à la fois engagés et talentueux, successeurs de Léo Ferré et de Renaud."

Article sur un concert de Mouss et Hakim (Midi libre 30/06/2005)

Collaboration avec Lambert Wilson

Article Lambert Wilson entre enfin en chanson de Bertrand Dicale du Figaro (8/11/07) :

"Son album est tout à la première personne, mais écrit par un collectif d'auteurs qui ont manifestement travaillé sur mesure : Boris Bergman, Marie Nimier, Marc Estève, Christophe Mali, un texte exhumé d'Hervé Guibert..."

Collaboration avec Liane Foly :

Article interview de Musique RFI à propos de l'album "Le goût du désir"

"Liane Foly : J’avais très envie de faire cet album. Et cette envie est directement liée à ma rencontre avec Art Mengo et Marc Estève. Je leur avais demandé quelques chansons. Elles me collaient tellement à la peau que je leur ai donné carte blanche pour tout l’album. Il n’est pas toujours évident de trouver des chansons sur mesure. Là, c’est carrément de la haute couture. Je pense avoir trouvé une famille musicale et une famille de cœur. On partage les mêmes goûts pour les musiques comme le jazz. Notre maître, c’était Nougaro. Tout s’est fait dans la simplicité, le désir, la fraternité et le rire. Cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps."

Article de La Dépêche sur l'album "Le goût du désir" (18/12/2007) :

Liane Foly : «Quand Michel (Art Mengo) m'a donné deux ou trois premières chansons, j'ai tout de suite adoré. Et avec Marc, ils ont vraiment fait tous les deux à la fois de la haute-couture et du sur-mesure. J'en suis folle de cet album!»...
 

Collaboration avec Romane Serda

Article d'Idoles mag

"Souvent repoussé (il était attendu pour 2010), elle nous livre aujourd’hui son troisième opus, « Ailleurs », un album solaire et lumineux. Si elle a co-composé la quasi-totalité des titres qui le composent, elle en a confié l’écriture à des plumes plus prestigieuses les unes que les autres. Elle s’est ainsi entourée de la garde rapprochée d’Alain Bashung, Jean Fauque et Boris Bergman, mais également de Marc Estève (Maurane, Enrico Macias, Juliette Gréco, Dick Rivers…), Pierre-Dominique Burgaud (Alain Chamfort, le Soldat Rose…) et Pierre Grillet (À cause des garçons, Patrick Juvet, Caroline Loeb…). En résumé : que du lourd ! Des auteurs de grand talent qui lui ont taillé onze petits bijoux."

Présentation de l'album Ailleurs par le label Chant du monde

"Enregistrées et produites avant de les donner aux auteurs, les musiques sont rythmées, joyeuses, flamboyantes, sur des textes parfois très denses, sombres et profonds signés Jean Fauque, Boris Bergman, Pierre Grillet, Marc Esteve, Pierre-Dominique Burgaud et elle-même. Du sur-mesure. Nourrie de ces collaborations artistiques, Romane Serda joue avec les mots et les sonorités revisitant les ambiances 60’s des musiques, films et séries noires."

Colaboration avec Christina Marocco :

Article de Michel Troadec de Ouest France sur l'album (27/09/2013)

"Art Mengo et Marc Estève lui apportent deux titres, « le côté sensuel que je ne pouvais concevoir moi-même. »« Je veux du rêve », dit-elle. Ses auteurs et ses musiciens lui en apportent."

Collaboration avec Daby Touré : 

Article de RFI Musique sur la sortie de Lang(u)age

Collaboration avec Teofilo Chantre : 

Article sur un concert au Petit duc (5/5/16)

"Et puis « Écoute l’harmonie / Qui flotte entre deux mondes » qui réunit le fado des collines, la bossa du toulousain Nougaro, les volcans capverdiens et le Brésil dans Un monde honorable. Un texte de Marc Estève (auteur pour Art Mengo et Juliette Géco notamment) tout comme ce « Tu verrais tu vivrais ici / Sans avoir à rêver d’ailleurs » repris en chœur et en rythme par le public.

Un survol complet de l’univers de l’artiste depuis 1997, qui nous offre en rappel la merveilleuse Des bleuets dans les blés écrite par Estève en 2004 : « Il y a de l’eau salée dans les yeux des passants (…) Il y a des bleuets dans les blés / Et des boutons d’or sur ta robe / Qui brillent dans mon regard troublé / Chaque soir quand tu te dérobes. » 

Article de RFI musique sur Métissage (23/05/11) :

Depuis plusieurs années, Teofilo Chantre insère quelques morceaux en français dans ses albums, comme un clin d’oeil. Dans meStissage, il ose le moitié-moitié. Il confie l’écriture des textes au talentueux parolier toulousain Marc Estève, à qui l’on doit certains bijoux de Chambre avec vue d’Henri Salvador. Il a joliment travaillé avec le Cap-Verdien, capté son univers et son swing... 

Article de France Culture sur Metissage :

"Déjà présent sur "Viaja" , l'album précédent, un autre complice Marc Estève cosigne cinq morceaux de ce disque. Le surprenant Entre-tempsdresse une vision lucide d'une société où la technologie numérique prend inexorablement le pas sur les relations humaines franches. Les arrangements de corde et le piano d'Un Monde Honorable , qui évoque le souvenir de Nougaro, mettent en valeur le chant naturellement fluide de Teofilo, parfois effleuré, toujours incarné, atteignant une harmonie touchante entre paroles et musique."

Article de Libé sur Métissage :

"La moitié des chansons sont en français, d’autres utilisent les deux langues. L’auteur toulousain Marc Estève prête sa plume légère et imagée : «Ecoute-la, mon île qui dort sous les volcans / Que le Brésil habille de ses faux accords lents.» Les cordes sont frottées avec douceur, les peaux caressées plus que percutées, les trompettes jouent en sourdine."

Article sur Azulando

"Il n'y pas d'alexandrins chez Teofilo, même quand il chante en français : « Il y a des bleuets dans les blés / et des boutons d'or sur ta robe / qui brillent dans mon regard troublé / chaque soir quand tu te dérobes ». C'est la seule chanson sur Azulando qui ne soit pas en portugais. Mais le livret donne la traduction anglaise de toutes les paroles. On peut savoir ainsi que la boule bleue de Bola Azul, c'est le monde. Et si on ne le sait pas, ça change quelque chose ? Je ne crois pas. Bola Azulparle de « respecter la nature » et fustige ceux qui par leurs abus nous « mènent à l'abîme ». Bien. Mais en plus (mais surtout ?), ça se danse. En douceur, chaloupé." 

Article sur Azulando

"Au détour d’un titre — Des Bleuets dans les blés, cosigné par Marc Estève, le complice d’Art Mengo — Teofilo prouve sans effort que la langue de Molière s’adapte parfaitement à sa voix de brume marine…"

Article du Parisien

"Un timide, un magique. Sur «Azulando » (Lusafrica), son quatrième album, Cesaria est venue rendre la pareille à son compositeur fétiche en chantant un titre avec lui. Teofilo Chantre a trois amours : le Cap-Vert, le Brésil,
dont il maîtrise les rythmes comme s'il était né là-bas, et la chanson française, avec laquelle
il a grandi. Il s'y met pour la première fois, sur un titre, « Des bleuets dans les blés »,
splendidement mélancolique. C'est plein de lucioles, de ferveur romantique intérieure, murmurée."

Article sur Teofilo Chantre de Mindelos infos

Collaboration avec Hervé Paul :

 

Présentation de l'album "Le chemin des dames"

"Catherine Cuny, mon éditrice, me présente alors Marc Estève.  Ancien de Maria Et , groupe toulousain de la fin des eighties que j’appréciais beaucoup, Marc collabore également avec Art Mengo.  Il va signer trois textes : « l’étincelle », « le grand nord » et précisément « le chemin des dames », chanson  qui va donner son titre au projet."

Collaboration avec Davy Kilembé :

Article dans "Chanter c'est lancer des balles" sur "Danser les mots" :

"C’est un texte de Marc Estève, Mille excuses et sans regret, qui nous souffle le bleu, le jaune et les roses chers au fauvisme. On peut d’ailleurs sans risque de se tromper, imaginer qu’il s’agit là d’une chanson qui claque au vent comme un fanion de fête foraine, comme un credo de mécréant.  «  Et nager dans la brise / Ou l’ombre des terrasses / Quand les palais s’anisent ou pilent devant les glaces »… « Sous le soleil exactement, juste en dessous » aurait-on chanté en d’autres temps car « la vie serait moins pénible au soleil »… Pas question donc d’aller « s’enterrer dans les salons feutrés d’un paradis sur Seine »."

Collaboration avec Voix du sud

Article de Jean-Claude Dana de La Croix sur les Rencontres d'Astaffort

« Astaffort n’est pas qu’un révélateur de talents. C’est aussi un révélateur de limites, commente le parolier Marc Esteve, intervenant auprès des stagiaires sur les textes. On a vu ici des interprètes se découvrir auteurs et renoncer à la scène, des auteurs se mettre à chanter d’autres textes que les leurs… »

Article de Rue 89 sur les Rencontres d'Astaffort à Strasbourg

"Plusieurs intervenants de Voix du Sud sont ainsi venus encadrer les onze stagiaires des « Ateliers d’Ecriture Voix du Sud / Voix du Nord » du 12 au 21 juin – Philippe Prohom pour la mise en scène, Christophe Alazard pour la direction musicale et les arrangements, Marc Estève pour les textes (auteur, entre autres, pour Juliette Gréco, Henri Salvador, Enrico Macias, Maurane, Florent Pagny, Benjamin Biolay) et Jean-François Lafitte, directeur adjoint des Rencontres d’Astaffort.

Objectif : écrire, composer en duo ou trio avec, à la clé, des mariages improbables avant d’apposer des arrangements et de répéter avec les musiciens affiliés au projet."

Article sur les Rencontres de Strasbourg : 

"Pour consolider le projet artistique et mettre sur pied la session de formation, Summerlied a fait appel à « Voix du sud », l’équipe de Francis Cabrel, basée à Astaffort en Lot et Garonne, qui possède en son sein de grosses pointures de la musique. En l’occurrence, Marc Estève parolier unanimement reconnu dans le milieu de la chanson, et Jean-François Delfour, musicien et arrangeur se sont vu confier l’ingénierie d’un stage qui a réuni les musiciens durant la semaine du festival, à l’école de musique de Haguenau."

Article sur les 40emes Rencontres d'Astaffort

"Ici chacun prend un rôle. On est le compositeur, ou le parolier. Parfois seulement l’interprète : on travaille avec les autres. Avec des formateurs aussi, des pointures du métier, tels Marc Estève pour les textes ou Julien Lebat pour la musique."

Article sur les Rencontre d'Astaffort avec Grand corps malade

 

Mouss
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