Dora Maar
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T'as jamais pu les encadrer
Ces grandes lascives à l'eau, à l'huile
C'est tellement facile de poser
L'air ailleurs derrière de grands cils
Faudrait gratter sous le vernis
Tirer sur les plis, les dentelles
Et gommer le lipstick rubis
Et laisser couler le Rimmel
Mais qu’est ce qu’elles ont de mieux
Ces modèles
Irréelles
Ces longues silhouettes,
Taille de guêpes, aux grands yeux
Tu veux qu'il te peigne !
Il voit pas qu'elles trichent, oui, t’en as marre de ces sirènes
Comme Dora Maar
Tu veux qu'il te peigne
Ou te dépeigne
Elles sont ailleurs, sans leurs toilettes
Alanguies sur des édredons
Oh, comme elles sont loin les nymphettes
Nues demoiselles en Avignon
Avec des fleurs de tournesol
Ou s’il préfère, des montres molles
Tu veux qu'il te peigne
Qu'il te peigne ou te dépeigne
Regarde-toi, tu m’amuses,
Oh toi ma Dora Maar, Dora Maar, Dora Maar
Mais qu’est ce qu’elles ont de mieux
Ces modèles
Irréelles
Ces longues silhouettes,
Taille de guêpes, aux grands yeux
Tu veux qu'il te peigne !
Il voit pas qu'elles trichent, oui, t’en as marre de ces sirènes
Comme Dora Maar
Tu veux qu'il te peigne
Ou te dépeigne